Un couloir, mais lequel ?

Elle marchait, dans les couloirs, soncartable dans les bras, le regard distrait aux alentours, cherchantdes probables repères auxquels se fier afin de retrouver son chemin. Elle semblait... Perdue ? Non : elle était perdue. On ne peut pas dire que l'orientation était son fort : c'est bien simple, parfois, elle ne retrouvait plus sa route rien qu'en se retournant. Pourtant, il y avait bien des cartes, parfois, sur les murs. Et puis, les extincteurs, les casiers, les distributeurs, étaient autant de points significatifs qui auraient dû frapper son attention et lui faire comprendre que c'était sans aucun doute la troisième fois qu'elle passait par ici.

"Pourquoi est-ce que je me perds toujours ?..."

Alors qu'elle ne parle jamais en présence d'autres personnes, la voilà qui parle toute seule ? Elle n'avait pas dû s'en rendre compte. De toute façon, sa voix, douce, faible, presque inaudible : l'entendait-elle, elle-même ?
Pourquoi ne s'arrêtait-elle pas ? Elle continuait à marcher lentement ... Mais si elle s'arrêtait, cela irait peut-être mieux. S'arrêter, c'est faire signe aux autres que l'on ne sait pas où aller, non ? Alors que là ... elle semblait savoir ce qu'elle faisait.
A force d'avancer sans regarder droit devant elle, il fallait bien qu'elle trébuche, ou se cogne. Justement, elle buta contre quelqu'un.

"Ite ! ..."

Et, à la réflexion, elle ajouta, le plus doucement du monde :

"P-pardon ..."

[Et continue qui veut Smile

]

Invité

Narik vaguait dans les couloirs, regardant, explorant, découvrant ou ils pouvaient bien mener. Il regardait de l'autre coté d'une fenetretout en marchant lorsqu'il rentra dans quelqu'un. la rencontre, totalement inattendu, fit tomber sur le dos Narik qui n'avait pas été préparé a ca et donc n'avait pas eu le reflex de garder l'équilibre. Narik se redressa, toujours sur le sol, puis se frotta un peu le dos. Puis, lorsqu'il regarda qui lui était rentré dedans, il vit une jeune fille. Décidement ce n'était pas son jour, deux rencontre de la meme maniere, en rentrant dans la personne. Narik finit par retourner sur ses pieds, puis, sourit a la jeune fille qui s'excusait.

" c'est correct, est-ce que tu es blessé ou quelque chose? " dit-il en se tappant les fesses pour oté un peu de saleté

Oh ! Mais quelle empotée elle faisait ! Le pauvre homme, à cause d'elle, il était tombé... Et puis, sonnez-moi si je me trompe, le sol doit-être loin d'être confortable à la chute, n'est-ce pas ? Comme elle avait honte... Il ne devait vraiment pas s'y attendre en tout cas, s'il elle l'avait fait tomber. Elle ! Avec son poids plume et sa force de criquet, il lui était rare de faire du mal, intentionnellement ou non, à quelqu'un, comme elle venait peut-être de le faire.
Ah ...Petite comme elle était, alors qu'il se replaçait debout, elle, devait lever les yeux pour pouvoir axer son regard vers lui. Du moins... C'est ce qu'elle aurait fait si elle l'avait voulu. Mais puisqu'elle était en présence d'un inconnu, pour le moment, elle baissa la tête, et sa langue se coupa – au sens figuré- et elle ne daigna plus rétorquer une seule phrase correcte, rougissant simplement un peu trop pour les circonstances.
Ainsi, à sa question, elle ne fit que secouer la tête, pour répondre à la négative.
Jusqu'à ce que sa politesse la rattrape. Mais il pouvait très bien ne pas l'entendre, tant ses paroles étaient presque murmurées...

"E-et vous ?..."

Invité

Narik eut de la misere a entendre se que la petite avait dit. il souria, puis la regarda du haut de sa grandeur. Puis, lui frotta un peu la tete.

" un peu mal au derriere, mais a pars ca tout va bien. de toute facon j'aurais du regarder en avant de moi. je m'excuse. "

Il ramassa les papiers qu'il avait fait tomber sans s'en rendre compte. Pour se faire, il s'accroupit, puis, les ramassa une par une. Une fois qu'il eut finit des ramasser, il se releva, toujours avec le sourire. puis, hocha la tete gentillement, pour s'excuser

" est-ce que je peux t'aider pour m'excuser ? "

Elle avait toujours les joues aussi colorées : cela ne changerait sûrement pas, cela. Oh, la pauvre petite, c'est qu'elle était bien timide. En réalité, c'était plutôt l'interprétation de sa phobie de l'inconnu... Heureusement pour elle, l'inconnu justement, ne l'est pas indéfiniment.
Elle releva doucement un regard plus ou moins gêné, aux grands yeux bleus, brillants, mais sans répondre, toujours, cachant même la moitié de son visage à l'aide de son cartable, sans réellement le vouloir.
Elle trouva que c'était plutôt elle, qui aurait dû regarder où elle allait ! Surtout qu'elle cherchait à retrouver son chemin, après tout.
D'ailleurs, il se proposait de l'aider ? Elle finit par sourire doucement, toujours embarrassée néanmoins, et hésita longuement avant de formuler une demande tout aussi discrète que ses autres déclarations.

"E-en fait je ..."

Peut-être cela l'indisposait réellement, d'avouer que comme une pauvre idiote, elle avait réussit à se perdre. C'est d'ailleurs pour cela que ce second temps d'hésitation était arrivé. Enfin, elle réussit tout de même à lâcher en bégayant :

"Je me suis perdue..."

Invité

lorsqu'elle leva son regard, Narik vit son beau petit visage et la trouva tres mignonne avec sa timidité apparente. lorsqu'elle se mit a parler, surement pour répondre a sa question. Narik se pencha, lorsqu'il vit qu'elle ne voulait pas finir sa phrase. Lorsqu'elle finit par répondre a sa question en lui disant qu'elle était perdu, Narik fit une petite grimace, car étant nouveau dans l'établissement il ne savait pas trop lui non plus ou il se trouvait. Apres quelque instant, Narik se rappela, qu'il y avait une petite carte dans ses papiers. Il fouilla un peu pour la trouver entre deux feuilles de question de mathématiques. Il survola un peu le plan, puis finit par localiser environ ou il se trouvait.

" Nous sommes, ici " dit-il en lui tendant le plan

" est-ce que tu cherche a te rendre a un endroit spécifique? "

Bien qu'elle semblait, et était d'ailleurs, très attentive à ce qu'il disait, et à l'endroit qu'il lui montrait sur le plan, elle était persuadée
que cela ne servait à rien et qu'elle allait continuer à vagabonder, une fois que plus personne ne serait là pour l'aider.
C'est bien simple, pour se perdre, et perdre des objets, elle avait une espèce de don. Elle ne comptait plus le nombre de fois où quelqu'un avait dû revenir la chercher alors qu'elle était égarée n'importe où, et le nombre d'objets qu'elle ne retrouvait plus : une trousse, un miroir de poche, peut-être même un livre, une peluche... Remarquez, elle finissait toujours par les retrouver, finalement, dans des endroits improbables, comme sous un oreiller.
Une nouvelle fois, et bien que cela fasse un peu redondance, sa tête seule répondit par la négative. Pas spécialement. Elle ne cherchait pas spécialement une salle, elle voulait juste « visiter ». Tenter d'apprendre à s'orienter.
Les humains ont inventé le langage parce que les gestes ne suffisent pas à se faire comprendre. Et il aurait été d'ailleurs bien difficile de transcrire sa prochaine question avec de simples mouvements. C'est la seule raison qui la poussa à parler.

"Vous êtes professeur... ?"

Il était peu probable qu'il soit élève, en tout cas : il paraissait tout de même un peu trop âgé pour ça. Du moins, pour le peu qu'elle avait vu. Jamais elle n'osait trop relever son regard. Les yeux dans les yeux n'était pas ce qu'elle préférait dans une conversation, vous l'aurez compris.

Invité

Lorsqu'il vut qu'elle répondit de la tete pour répondre a sa question, Narik la trouva vraiment mignonne. lorsqu'elle lui posa sa question, il se mit a rire un peu, disons qu'il se demandait quel age elle lui donnait pour poser cette question. Quoique il était vrai qu'il était un jeune professeur et que c'était vrai qu'il pouvait peut-etre passé pour autre chose. Narik, rabaissa la tete.

" effectivement je suis professeur de mathétique et je viens juste d'arriver ici, d'ou la raison de pourquoi jai un plan avec moi. Disons que j'explorais un peu les lieux lorsque nous nous sommes percuté. Mon nom est Narik Silax, et toi comment est-ce que tu t'appele? "

Et bien ! A priori, c'est assez normal de la trouver fortement mignonne, puisqu'elle l'est. De ce fait, d'ailleurs, elle paraissait toujours plus jeune qu'elle ne l'était en réalité. Pour son plus grand malheur d'ailleurs : on lui avait déjà refusé l'entrée dans certains endroits, comme son ancien établissement scolaire, sous prétexte qu'en rien elle ne ressemblait à une étudiante. Mais depuis ce jour, de l'eau a coulé sous les ponts : elle a une carte d'identité, hum. Oh, un professeur de mathématiques ? Les mathématiques... Elle était plutôt neutre face à cette matière, si l'on parle de goût. Pourtant, pour une probable future carrière dans la médecine, elle savait bien que les sciences seraient des plus importantes pour elle dans son cursus. Aussi, elle redoublait toujours d'effort dans ce sujet. Et les résultats étaient parfois probants.
Puisqu'il lui demandait son nom, elle esquissa un sourire très doux, très léger, gentillet et heureux tout à la fois, timoré encore. Si elle n'avait pas été aussi taciturne, elle aurait bien exprimer une plu grande joie... parce qu'il s'intéressait à elle, c'est tout. N'ayant pas énormément d'ami(e)s, et n'étant pas d'un naturel très loquace non plus, elle s'était faîte à l'idée de passer pour le pot-de-fleur de service.

"S-Sophie... Mon nom c'est Sophie Ravinel..."

Et comme d'habitude, dans sa présentation, bien qu'elle porta les deux noms Ravinel et Fontaine, elle ne précisa que celui de son père, et pas celui de sa mère.

Invité

Narik passa rapidement sa main dans les cheveux de la jeune demoiselle sans savoir si elle appréciait ca ou non. Lorsqu'elle lui révela son nom, Narik baissa un peu son regard pour voir sur sa feuille de présence le nom de la jeune fille.

" Enchanté Sophie Ravinel Fontaine, c'est un tres jolie nom d'ailleur qui va a ravir a une mignonne jeune demoiselle. Question comme ca Sophie, que croyais tu que j'étais lorsque tu m'as posé la question pour savoir si j'étais professeur, en fait plus précisement quel age me donnais-tu? Car tu es un peu la premiere a me poser cette question ici, enfin je crois, les autres fois j'eu affirmé mon poste avant que l'on me pose la question alors..."

Narik en parlant ainsi se demandait aussi quelle était l'impression qu'il lui donnait ayant vu qu'elle était tres timide. Il la regarda attendant une réaction de sa part

Oh, mais le jeune professeur n'aurait pas dû faire une chose pareille. Il aurait dû se douter que ce geste, sans la déranger réellement, l'embarrasserait : elle baissa la tête, ses joues devenant plus écarlate encore, elle serra son cartable contre elle. Pourtant, elle ne rétorqua pas. Voilà pourquoi cette jeune blondinette était qualifiée de « sans-défense » : elle n'osait pas répliquer à ce genre de choses, ou même aux coups, que ce soit par des gestes ou des paroles. Jamais elle n'arrivait à faire comprendre qu'elle n'appréciait pas totalement la chose.
Oh, et puis, maintenant, il la complimentait. Et puis il y allait, plus elle rougissait, si bien qu'elle ne fit même pas attention au fait qu'il prononce le nom « Fontaine ». Chose qui normalement, aurait dû la rendre triste.
Elle n'aimait pas sa mère.
Finalement, confuse, elle bredouilla quelques mots pour lui répondre, doucement, difficilement, les syllabes coupées les unes des autres dans une mélodie désordonnée.

"J-je... Je ne sais pas... Dix-neuf ans..."

Elle n'était pas réellement douée pour trouver les âges non plus !

Invité

Narik vit la réaction de la jeune fille qui c'était caché derriere son cartable. Il pensa qu'elle était trop mignonne dans ses agissements et a la voir devenir rouge, il avait le gout de rire. Ce qu'il fit joyeusement lorsqu'elle lui dit qu'elle croyait qu'il avait 19ans.

" Et bien merci, c'est gentil de ta part de me donner cet age la, mais malheureusement jai 23 ans... " dit-il en riant

Lorsqu'il eut finit de rire, peu a peu il retrouva un peu son calme.

" dit-il moi, a voir comment tu eus réagit, est-ce que ca se pourrait que j'aies fait quelque chose que tu n'aies pas aimé ou qui t'aurait gené. Si oui, dit le moi je ne le referai plus et en meme temps ca m'aideras a savoir quoi ne pas faire a l'avenir aux autres élèves. "

Pourtant, qu'il rie, ne la fit pas rire, elle. S'il fallait faire un bilan de ses sentiment, la gêne était subséquente à tous les autres. Pourtant, oh ... Elle ne voulait pas qu'il en soit ainsi. Elle aurait bien voulu parler, savoir s'imposer un peu, parfois. Quand elle pensait à certaines scènes de sa vie, souvent d'ailleurs, elle regrettait. Se disait « tiens j'aurais pu faire ça », ou « tiens j'aurais pu faire ci... Si j'avais été moins timide ». Certainement cette conversation, plus tard, aboutirait de nouveau à une réflexion de ce genre.
Elle laissa pourtant échapper un mot, en chuchotement. Il ne lui était pas forcément destiné : qu'il l'entende, s'il le désire, elle ne faisait de toute façon que répéter.

"Malheureusement...?"

Oh, et maintenant il lui posait la question. Pourtant, jamais elle n'oserait avouer que son geste l'avait troublée. Elle craignait qu'il ne le prenne mal, ou que cela le rende triste. Elle secoua donc la tête. De toute façon, elle ne pensait pas que son cas serait très bon comme cas général.
Ah, elle trouvait cette discussion un peu étrange. Après tout, c'était un professeur, et elle, une élève. Pourtant, ils parlaient presque comme si ils avaient été deux personnes quelconques dans un endroit quelconques, sans obligation de frontières entre les deux « camps » de l'établissement : adultes et élèves.

Invité

Narik entendit le malheureusement qu'elle avait chuchoté. Effectivement, il malheureusement il avait 24 [erreur de ma part ^^"], il aurait bien aimé toujours etre a l'école a s'amuser, paresser, faire ce qu'il aimait sans pour autant a avoir a travailer, mais non. il avait grandit et maintenant il avait un bac en Enseignement, avait un travail, des obligations, etc. Mais bon il c'était fait a cette idée et apres tout enseigner a des ados, tout dépendant lesquels, pouvait etre amusant.

" et oui, malheureusement, car retourné une dizaine d'année en arriere me derangerait pas... m'amuser, parresser ... Désoler, je dois t'ennuyer et disons que ca ne rime a rien que je te dise tout ca. concernant la question que j'avais poser tu es sur que j'aies rien fait de genant ou d'offusquant? "

Oh, mais je, et Sophie également, ne pense pas que l'école se résume à paresser et s'amuser, justement ... C'est bien le contraire ! Pour la jeune fille, aller en cours était un stress permanent, et un travail de longue haleine. Ayant depuis son plus jeune âge un « léger » retard mental – ceci expliquant à la fois sa façon de parler et son renfermement sur elle-même-, elle devait batailler ferme pour obtenir de bons résultats. Mais chaque cours avait sa part d'angoisse. Les mathématiques étaient parfois difficiles, elle ne comprenait pas grand chose à la littérature, sa force ne parvenait pas à la faire exceller en éducation sportive, les langues lui posaient quelques problèmes également, les sciences-physiques passaient à peu près, et ensuite il y avait la biologie. Indispensable à ses futures études de médecine. Et pourtant, une seule crainte dans l'esprit de la jeune fille, chaque fois qu'elle passait la porte de la salle de cours : que la séance du jour soit des travaux pratiques, et que ces travaux pratiques soient une dissection, où elle aurait affaire à du sang.

"Non, je vous assure..."

Elle avait sourit délicatement et avait même relevé la tête et retiré très légèrement son cartable, pour dévoiler de nouveau son petit visage arrondi et enfantin. Elle avait voulu se faire rassurante, même si elle mentait un peu.

Invité

" tant mieux, ca me rassure... je pensais avoir fait quelque chose de déplacé il y a quelque minute... si vous dites qu'il n'y a rien c'est qu'il ne doit rien y avoir. "

Il replaca toutes ses feuilles dans ses mains du au fait que certaine s'en allait tomber. en les replacant, il fit se qu'il avait voulu éviter et échappa des feuilles.

(quel maladroit je peux etre parfois)

sur cette pensé il se mit a genou, pour essayer des ramasser, puis, vit la jeune fille qui était toujours la a le regarder

" m'enfin je ne vais pas vous retenir plus longtemps, deja que je crois que jai du ennuyer a mourir a parler comme jai fait. "

Apres qu'il eut dit cette phrase, il se remit a ramasser ses feuilles qui était éparpiller sur le sol. il devait y en avoir une vingtaine, mais en meme temps des ramassers il cherchait la feuille de présence en particulier avec la feuille ou il s'était mit a écrire se qu'il pensait des éleves qu'il avait eu jusqu'a date, bien sur le nom de Sophie parassait sur la feuille, sans pour autant avoir quelque chose a coté de son nom, puisque Narik venait tout juste de la rencontré.

En fait, non. Puisqu'il fit tomber ses feuilles de nouveau, elle se baissa également pour l'aider à les ramasser. Une fois ceci fait, elle se releva. Ah. Du haut de ses un mètre cinquante-sept, ou cinq pieds et deux pouces selon, elle devait paraître bien minuscule, bien fragile. Encore une fois, elle secoua la tête, mais cette fois, elle répondit également, doucereusement .

"Non, vous ne m'ennuyez pas, monsieur..."

Pourtant, il fallait qu'elle parte, maintenant. Jusqu'au dortoir. Il fallait qu'elle travaille, ou quelque chose comme ça tout du moins.
[Et moi j'ai surtout besoin de me coucher avant de tomber de fatigue vu qu'il est 4h00 T_T]
Donc, elle rougit encore doucement, replaçant son cartable sur son coeur, elle s'excusa.

"Je... Je suis désolée... Je dois m'en aller..."

Et elle fit une petite révérence, en ajoutant quelque chose comme «aurevoir ». Oh, bien qu'elle se mit en route... Allait-elle les retrouver, les dortoirs ? Lorsqu'il lui avait montré le plan, elle avait noté vite fait, dans sa tête, l'itinéraire. Il fallait juste espérer que ça suffise !

Invité

" C'était une bien gentille petite fille malgré qu'elle soit extrement timide. pour m'aider a ramasser mes feuilles, alors qu'elle devait partir. ouais une gentille mignonne petite fille... est-ce que ca se dit? bha tant pis je suis prof de math pas de francais "

Narik vérifia qu'aucune feuille ne manquait. apres avoir vu qu'aucune ne manquait, il sorti du lot la feuille avec les commentaires qu'il écrivait sur les élèves et alla a coté du nom de la jeune fille.

" Sophie, Sophie, Sophie... A la voila, bon donc. Petite jeune fille tres charmante, malgré le fait qu'elle soit un peu trop timide. " dit-il en lisant se qu'il écrivait

une fois que cela fut fait. A son tour il parti en direction de son office, pour aller porter les documents qu'il avait dans les mains. Pour ainsi empecher qu'il les échappe a nouveau.

» Un couloir, pleins de couloir...
» Couloir de l'aile sud-est
» Couloir de l'aile Nord
» couloir en face du cour de math